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Dans une lettre qu'il adresse à Salvador Rueda le 29 avril 1886, José María de Pereda, qui a été destinataire de El Patio Andaluz pour en rendre compte dans la presse madrilène, s'excuse notamment du retard avec lequel il le remercie de l'envoi de ce livre, retard, d'ailleurs, qu'il souligne à nouveau un an plus tard dans une autre de ses lettres datée du 6 avril 1887 qu'il destine à Rueda. Un retard à ce point mis en relief nous permet de supposer que El Patio Andaluz est paru au tout début de l'année 1886.

Les lettres de José María de Pereda sont reproduites dans l'article que consacre E. Sánchez Reyes à Salvador Rueda, intitulé «Mementos de Actualidad» et publié dans le Boletín de la Biblioteca Menéndez y Pelayo, XXXIII, Santander, 1957. (N. de l'A.)



 

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16 cm (hauteur) x 10'8 cm (largeur). (N. de l'A.)



 

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El Patio Andaluz. Cuadros de costumbres. Por Salvador Rueda, Manuel Rosado Editor. Librería nacional y Extranjera. 9, Puerta del Sol, 9, Madrid, 1886. (N. de l'A.)



 

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Le certificat de baptême de Salvador Rueda est reproduit dans l'Apéndice documental de l'article de Juan Antonio Tamayo, «Salvador Rueda o el ritmo», publié dans Cuadernos de literatura contemporánea, N.º 9, Consejo superior de Investigaciones científicas, Instituto Antonio de Nebrija, Madrid, 1943.

Soulignons au passage l'erreur commise par Antonio Oliver à propos de la date de naissance de Salvador Rueda dans son intéressant article, «Consideraciones en torno a la poesía de Salvador Rueda», paru dans Caracola. Revista malagueña de poesía, N.º 62-63 - Enero 1957-1958, Málaga. (N. de l'A.)



 

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Cf. Salvador Rueda, El poeta de la raza. (Su vida y su obra) por Manuel Prados y López (Cronista de Málaga), Málaga, Imprenta Zambrana, 1941. Notamment le chapitre intitulé Benaque (p. 9-13). (N. de l'A.)



 

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Cantando por ambos mundos, publié en 1913 à Barcelone. Cf. également l'édition de l'Imprenta Española, Madrid, 1914. (N. de l'A.)



 

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Cf. l'ouvrage de Manuel Prados y López cité plus haut (p. 25): «De nuestro gran lírico se puede afirmar que hizo versos antes de saber escribir. No fue la cultura lo que le dio razón de poeta, sino la vida, la luz, el aire, el mar.»

Cf. note n.º 1, p. 9, de l'article de Juan Antonio Tamayo cité plus haut. Il y est fait allusion à l'ouvrage de Cejador, Historia de la lengua y literatura castellana, Tipografía de la Revista de Archivos, Madrid, 1915-1922, tomo IX, p. 362. (N. de l'A.)



 

557

Cf. Nota del autor in Cantando por ambos mundos. (N. de l'A.)



 

558

Cf. l'ouvrage de Manuel Prados y López cité plus haut (p. 25). (N. de l'A.)



 

559

Ibid. p. 25. (N. de l'A.)



 
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