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1

Joanot Martorell, Tirant lo Blanc, p. p. Martí de Riquer, Barcelone 1947 («Biblioteca Perenne»). Nous citerons: Tirant lo Blanc. Lorsque nous nous reporterons à la très importante étude préliminaire de cette édition, nous citerons: Riquer, Introd. L'introduction et l'édition ont une numérotation indépendante.

 

2

Obres de J. Roiç de Corella, p. p. R. Miquel i Planas, Barcelona 1913 («Biblioteca Catalana»). Le Trihunfo de les Dones occupe les pp. 133 jusqu'à 146. Nous citerons: Corella, Obres.

 

3

Le mot catalan garrotera, attesté abondamment depuis la fin du XIVe siècle, est le correspondant du français jarretière. Cf. FEW, IV, pp. 68 et 71; DCEC, II, p. 688.

 

4

Cf. Riquer, Introd., pp. 122-125. M. M. de Riquer écrit, sans doute par erreur, que la première édition de l'Anglica Historia de Polydorus Vergilius est de 1504, et il répète cette date inexacte dans son Història de la Literatura Catalana, Barcelone 1964, II, p. 665 (citée dorénavant: HLCat); il est suivi en cela par Manuel de Montoliu, Un escorç en la poesia i la novel·lística dels segles XIV i XV, Barcelone 1961, p. 109. À propos de la première édition de l'Anglica Historia cf. Denys Hay, Polydore Vergil. Renaissance Historian and Man of Letters, Oxford 1952, p. 78.

 

5

Pendant les XVIe et XVIIe siècles on n'a pas manqué en Angleterre de critiquer Polydorus Vergilius. Ainsi John Bale, tout en reconnaissant son érudition, lui reproche des «Romish lyes and other Italish beggery», tandis que l'épigrammatiste John Owen le soufflette de ses vers: «Vergilii duo sunt; alter Maro, tu Polydore, // Alter; tu mendax, ille poeta fuit». Cf. Manfred Edwin Welti, Der Basler Buchdruck und Britannien, Bâle 1964, pp. 75-76 («Basler Beiträge zur Geschichtswissenschaft», 93).

 

6

Livre I, p. 286; cité d'après The Encyclopaedia Britannica, Ninth Edition, Edinburgh 1882, XIV, p. 122, s. v. Knighthood. L'édition la plus récente de The Encyclopaedia Britannica, 1964, XIII, p. 433, ne parle pas de ces détails.

 

7

Londres 1672, p. 179.

 

8

Chroniques de J. Froissart, p. p. Siméon Luce, Paris 1872, III, § 203, p. 37.

 

9

Cf. les remarques de S. Luce, éd. cit., III, p. XI, note 6, et celles de J. Viard et E. Déprez dans leur édition de la Chronique de Jean le Bel, Paris 1904-1905, II, p. 26.

 

10

Comme Froissart, ni Jean le Bel (édition citée) ni l'auteur anonyme des Voeux du hairon (éd. G. Bertoni, «Archivum Romanicum», V, 1921, pp. 426-436) ne mentionnent cette légende lorsqu'ils parlent d'Edouard III.